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Kévin Giges veut une Région Lorraine dans une France fédérale
Par Parti Lorrain | Le 08/06/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Le Parti Lorrain a dernièrement présenté lors d'une conférence de presse organisée à Diddenuewen (Thionville) son candidat dans la neuvième circonscription de la Moselle. Il s'agit de Kévin Giges. Agé de 31 ans, celui-ci défend l’idée d’une France fédérale dans laquelle la Lorraine aurait toute sa place en tant que région à part entière. Elle serait même dotée de beaucoup plus de compétences. Le Grand Est, qui a été imposé sans concertation ni consultation des élus et des habitants, doit disparaître. « On a touché à l’âme et à l’identité des gens », selon Kévin Giges. C'est la raison pour laquelle « il faut revenir aux régions historiques comme la Lorraine pour redonner du sens. Les décisions ne doivent plus se prendre de manière centralisée à Paris mais au cœur de nos territoires », poursuit-il.
Pour Kévin Giges, la Lorraine doit revenir une région à part entière mais avec plus de compéténces au sein d'une France fédérale (Crédits photo : Parti Lorrain)
Celui qui est mécanicien ferroviaire au Luxembourg connaît par ailleurs parfaitement les problèmes de mobilité des frontaliers puisqu'il les vit au quotidien. Il entend donc représenter et porter la voix à l’Assemblé Nationale des 80 000 Lorrains qui franchissent la frontière tous les jours pour faire bouger les choses et faire avancer les dossiers concernant la saturation des réseaux de transports. « Ces réalités sont depuis trop longtemps ignorées à Paris par les gouvernements successifs », selon le candidat fédéraliste.
Kévin Giges invite donc les électeurs à faire « entrer la Lorraine à l’Assemblée Nationale ». Bien implanté dans le milieu associatif et culturel local grâce à son groupe de musique rock, il compte également défendre et développer les langues régionales, à l'image du Lothringer Platt, reconnu comme une langue officielle au Luxembourg. Il l'utilise d’ailleurs quotidiennement au travail. Il faut en effet savoir que cette langue est de plus en plus demandée par les employeurs et les recruteurs du Grand-duché. On constate de ce fait une forte demande d’apprentissage de celle-ci dans la région avec l’essor économique du Luxembourg.
A noter enfin que parmi les autres éléments de son programme on retrouve le renforcement du non-cumul des mandats, la reconnaissance du vote blanc, l’aide aux agriculteurs, le développement des circuits cours ou encore l’abaissement des charges des entreprises pour stimuler l’emploi.
Le Président du Parti Lorrain candidat sur la deuxième circonscription de la Moselle
Par Parti Lorrain | Le 01/06/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Au cours d’une conférence de presse organisée à Metz, le Parti Lorrain a dernièrement présenté son candidat sur la deuxième circonscription de la Moselle (Metz, Montigny-lès-Metz, Verny, Côtes de Moselle) aux prochaines élections législatives. Il s’agit ni plus ni moins que de son Président Thomas Riboulet. Celui-ci entend redévelopper notre territoire et moraliser la vie politique française. Il propose pour cela quatre leviers d’actions : la défense de la Lorraine comme entité administrative à part entière ; la défense de la démocratie et de la citoyenneté ; le soutien à l’économie locale, ainsi que la préservation de l’environnement avec notamment l’arrêt du projet d’enfouissement des déchets radioactifs à Bure.
Thomas Riboulet est candidat sur la deuxième circonscription de la Moselle pour devenir député (Crédits photo : Parti Lorrain)
Proposer une loi pour enfin mener une vraie réforme territoriale
S’il est élu député pour représenter ses concitoyens à l’Assemblée Nationale, Thomas Riboulet s’engage à proposer une nouvelle loi pour remplacer la loi NOTRE et recréer une Région Lorraine. « Nous devons absolument retrouver nos administrations et des centres de décisions », souligne le Président candidat pour qui l’échelon communal a également tout son sens. L’idée est de conférer aux régions historiques les moyens d’agir et de se développer dans les domaines de l’aménagement du territoire, de l’économie, des transports, de l’emploi, de la culture, de l’éducation et de l’environnement. « Ce n’est pas la taille des régions qui compte mais les compétences qui leur sont attribuées », affirme-t-il, avant de poursuivre : « je veux défendre nos territoires et la démocratie car la Lorraine a été fusionnée de manière illégitime sans concertation ni consultation des élus et des habitants et en totale violation des traités européens. Les décisions doivent être prises au cœur des territoires et au plus proche des citoyens, pour garantir efficience, bon sens et transparence et ainsi redonner de la confiance ». Thomas Riboulet souhaite de même pérenniser le Droit Local mosellan qu’il considère autant comme un trésor de notre patrimoine qu’un gage d’avenir.
Moraliser la vie politique
A l’Assemblée Nationale, Thomas Riboulet agira pour moraliser la vie politique française. Il estime ainsi que la politique ne doit pas être un métier, afin de ne pas tomber dans le clientélisme. C’est la raison pour laquelle il proposera une loi pour instaurer comme condition d'éligibilité à toutes les élections « la démonstration d’un casier judiciaire vierge ». Il entend également renforcer le non-cumul des mandats (renouvelables une fois), faire reconnaître le vote blanc et généraliser les outils démocratiques participatifs comme par exemple les référendums.
Soutenir l’économie locale
Le candidat à la députation compte par ailleurs soutenir le tissu économique local, les entreprises, les artisans, les agriculteurs et les viticulteurs des Côtes de Moselle en réduisant leurs charges et en luttant contre les disparités territoriales et la désertification médicale. De la même manière, le Président du Parti Lorrain entend « maintenir les services publics de proximité et favoriser la mise en place des circuits courts entre producteurs et consommateurs ». L’idée est aussi d’améliorer le cadre de vie en soutenant le développement durable et en préservant l’environnement.
Arrêter tout projet d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure
Thomas Riboulet fait enfin du projet d’enfouissement des déchets radioactifs à Bure un enjeu national. « Si je suis élu député, je proposerai immédiatement une loi pour stopper ce projet insensé et imposé qui condamne l’avenir de nos territoires et des futures générations sur des centaines de milliers d’années », affirme-t-il. « Personne ne souhaite en effet vivre et habiter au-dessus d’une poubelle radioactive. Là aussi, la démocratie a été bafouée puisqu’une pétition signée par plus de 60 000 personnes demandant un referendum sur la question a été jugé illégale par les autorités ».
Un casier judiciaire vierge pour tous nos candidats et suppléants
Par Parti Lorrain | Le 31/05/2017 | Commentaires (0)
Pour éviter tout clientélisme, la politique ne doit pas être un métier mais un devoir de servir l'intérêt général et de représenter les citoyens. S'ils sont élus députés, les candidats du Parti Lorrain s'engagent à aller jusqu'au bout de la moralisation de la vie politique française. Ils proposeront ainsi des lois pour instaurer comme condition d'éligibilité à toutes les élections la démonstration d’un casier judiciaire vierge, pour renforcer le non-cumul des mandats (renouvelable une fois), pour faire reconnaître le vote blanc et pour généraliser les outils démocratiques participatifs (référendums, etc.). L'idée est également d'introduire une dose significative de proportionnelle pour permettre une meilleure représentation de la diversité des opinions.
Fidèles à leurs valeurs et à leurs engagements, les sept candidats, suppléants et mandataires judiciaires du Parti Lorrain présentent tous des casiers judiciaires vierges.
Le Parti Lorrain demande donc à tous les autres candidats et à leurs suppléants d'attester et de prouver la sincérité de leur démarche en apportant également la preuve de leur casier judiciaire vierge. Seront-ils relever ce défi démocratique et ce devoir de transparence ?
Le Parti Lorrain lance sa campagne des législatives !
Par Parti Lorrain | Le 27/05/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Le Parti Lorrain a dernièrement officiellement lancé sa campagne pour les élections législatives au cours d’une conférence de presse nationale organisée à Paris par l’Alliance Ecologiste Indépendante et le Mouvement 100 %, fédération composée de 25 partis politiques citoyens, écologistes et régionalistes. Le Président du Parti Lorrain, M. Thomas Riboulet, a pris la parole pour rappeler les principaux enjeux et sujets de la campagne en Lorraine (abrogation de la loi NOTRE et du Grand Est, arrêt du projet d'enfouissement des déchets radioactifs à Bure, etc.).
Pour ces élections législatives 2017, le Parti Lorrain est présent dans les quatre départements lorrains. Sept candidats défendront ses couleurs : trois en Moselle (2ème, 8ème et 9ème circonscriptions), deux dans les Vosges (1ère et 2ème circonscriptions), un en Meurthe-et-Moselle (6ème circonscription) et un en Meuse (1ère circonscription). Ils seront soutenus par l’ensemble des forces écologistes, citoyennes et régionalistes, co-présidées par Jean-Marc Governatori et Francis Lalanne, pour devenir députés.
Les conférences de presse, les réunions publiques, les rencontres avec les habitants sur les marchés et dans les rues, ainsi que les opérations de tractage vont à présent s’enchaîner.
N’oubliez pas, les 11 et 18 juin, faites entrer la Lorraine à l'Assemblée Nationale !
Le Président dénonce l’absurdité du Grand Est sur LN Radio
Par Parti Lorrain | Le 22/03/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
La nouvelle région Grand Est continue de faire débat en Lorraine et ce n'est pas prêt de s'arrêter. Thomas Riboulet, Président du Parti Lorrain, était ainsi dernièrement l'invité de l'émission Politiquement Jeune sur LN Radio.
Le Président est revenu sur cette aberration démocratique, économique et géographique en esquissant des pistes de sorties possibles pour la Lorraine. Il a également rappelé le contexte qui a amené au Grand Est et l’absence totale de consultation des citoyens et des élus.
Retrouvez ci-dessous son intervention enregistrée dans les studios du Numéripole de Bras-sur-Meuse, près de Verdun.
Le Grand Est, ce n'ame po tojo, comme on dit à Sion !