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Législatives 2017 : Kévin Flaus, nouvel espoir pour l’emploi dans la Vallée de la Fensch
Par Parti Lorrain | Le 19/12/2016 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Il est jeune et sera candidat aux prochaines élections législatives en 2017 pour le Parti Lorrain (PL) dans la huitième circonscription de la Moselle. A vingt ans, Kévin Flaus incarne le renouveau et l’espoir pour la Vallée de la Fensch et ses environs, martyrisés et trahis par les gouvernements successifs à Gandrange et à Hayange-Florange. Il représente aussi et surtout une alternative rafraîchissante à l’éclatement des partis traditionnels et aux extrêmes de tous bords.
Kévin Flaus, à gauche, et Thomas Riboulet lors de la conférence de presse du Parti Lorrain à Hayange (Crédits photo : Groupe BLE Lorraine)
Etudiant en Droit à l’Université de Lorraine, Kévin Flaus a été officiellement présenté par le Parti Lorrain au cours d’une conférence de presse organisée mi-décembre à Hayange. A l’image des futurs candidats PL dans les Vosges, il était également accompagné pour l’occasion de son Président, Thomas Riboulet, lui-même futur candidat dans la seconde circonscription de la Moselle à Metz. Mosellan mais avant tout Lorrain et très attaché à sa région, Kévin Flaus entend défendre notre territoire à l’Assemblée Nationale, afin de proposer des lois pour apporter davantage de démocratie, de proximité et de transparence dans la vie politique française.
Priorité à l’emploi
Le Parti Lorrain fait de l’emploi sa priorité pour sortir la vallée du déclin de la sidérurgie et de la misère sociale. Travaillant en parallèle de ses études, il connaît parfaitement les problématiques locales en la matière pour parler aux jeunes, parfois désœuvrés auxquels il faut redonner confiance. « Une prise de décision au cœur de nos territoires par des acteurs qui connaissent le terrain doit permettre d’insuffler une nouvelle dynamique », affirme-t-il. Le jeune futur candidat lorrain compte d’ailleurs éradiquer le chômage de longue durée en généralisant notamment les expérimentations « territoires zéro chômage » et en favorisant l’installation de jeunes agricultures sur les terres abandonnées pour soutenir des productions locales de qualité en circuit court. Le développement des monnaies locales complémentaires constitue également une piste pour stimuler l’économie et l’emploi.
Comme partout en Lorraine, Kévin Flaus et le Parti Lorrain seront soutenus dans cette démarche par les forces écologiques et citoyennes. Après sa participation aux dernières élections régionales en décembre 2015, où sa liste avait récoltée 4,74 % des suffrages, le mouvement régionaliste compte ainsi s’installer durablement dans le paysage politique lorrain. Il participera à la bataille des législatives à travers le Mouvement 100 %, fédération de 25 partis écologistes, citoyens et régionalistes. L’idée est de mieux revenir aux régions historiques en leur conférant une autonomie maximale, d’introduire une dose significative de proportionnelle pour avoir une plus juste représentativité de la diversité des opinions dans le pays, d’instaurer le non cumul des mandats et de généraliser le recours aux outils démocratiques participatifs comme les référendums.
Non à l’ACAL, oui à nos régions ! : Présentation des têtes de liste lorraines à Nancy
Par Parti Lorrain | Le 18/11/2015 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Dans le cadre de sa campagne pour les élections régionales des 6 et 13 décembre prochains, le Parti Lorrain (PL) a organisé vendredi 13 novembre 2015 à 9h une conférence de presse à la Brasserie Excelsior de Nancy pour présenter autour d’un petit-déjeuner les têtes de liste et les candidats en Lorraine de la liste « Non à l’ACAL, oui à nos régions ! ».
Les têtes de liste en Lorraine en conférence de presse à Nancy (Crédits photo : Guillaume Reffay)
La conférence de presse s’est déroulée en présence de M. Jean-Georges TROUILLET, tête de liste interrégionale, et des quatre têtes de liste départementales, à savoir :
Meurthe-et-Moselle : M. Thomas RIBOULET, Président du Parti Lorrain
Meuse : M. Kévin GIGES, Secrétaire Général du Parti Lorrain
Moselle : M. Philippe MOURAUX
Vosges : M. Emmanuel THIEBAUT.
La liste « Non à l’ACAL, oui à nos régions ! » fédère des responsables et des membres du Parti Lorrain, ainsi que des élus, des responsables associatifs et des personnes de la société civile. Elle dénonce le déni de démocratie qui a dicté la fusion de nos régions sans la moindre consultation des habitants et des élus. Les coûts de fonctionnement de cette méga-région presque deux fois plus étendue que la Belgique et plus peuplée que la Norvège vont exploser en raison de l’augmentation des frais de déplacement, de restauration et d’harmonisation des outils entre les trois conseils régionaux (informatique, ressources humaines, comptabilité, etc.). Rien que l’étude pour déterminer une éventuelle compatibilité entre les logiciels de gestion de la paie des Régions Lorraine et Champagne-Ardenne a coûté plus d’un million d’euros. L’adaptation de tous ces outils reviendra à elle-seule déjà plusieurs dizaines de millions d’euros. « Il n’y aura aucune économie, bien au contraire », estime le Président du Parti Lorrain, pour qui « ce sont les contribuables qui vont au final devoir encore payer l’addition ».
La liste régionaliste « Non à l’ACAL, oui à nos régions » est la seule qui refuse la méga-région et propose d’organiser un référendum pour consulter la population sur la question. Eloignée de tout extrême, elle promet ensuite de démanteler pierre après pierre l’ACAL tout en soutenant parallèlement la revitalisation économique de nos territoires (valorisation de nos forêts et de nos ressources en eau, aide aux PMI-PME, développement du numérique et de la recherche et développement) pour faire de la Lorraine une région high-tech à la pointe de l’innovation et respectueuse de l’environnement.
Conférence de Presse du Parti Lorrain - Présentation des listes lorraines
Par Parti Lorrain | Le 11/11/2015 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Dans le cadre de sa campagne pour les élections régionales des 6 et 13 décembre prochains, le Parti Lorrain organise une conférence de presse pour présenter ses candidats en Lorraine (liste « Non à l’ACAL, oui à nos régions ! »).
RDV le vendredi 13 novembre 2015 à 9h00 à la Brasserie Excelsior de Nancy.
La conférence se déroulera en présence de M. Jean-Georges TROUILLET, tête de liste interrégionale, et des quatre têtes de liste départementales, à savoir :
Meurthe-et-Moselle : M. Thomas RIBOULET, Président du Parti Lorrain
Meuse : M. Kévin GIGES, Secrétaire Général du Parti Lorrain
Moselle : M. Philippe MOURAUX
Vosges : M. Emmanuel THIEBAUT.
Date : vendredi 13 novembre 2015 à 9h00
Lieu : Brasserie Excelsior (Salon Gambetta), 50, Rue Henri Poincaré à Nancy (54).
Halte aux sondages bidons sur la méga-région
Par Parti Lorrain | Le 08/11/2015 | Commentaires (0)
Alors que la Commission des sondages a dernièrement épingler un sondage de l’Institut BVA pour ses erreurs de méthodologie, un autre, tout aussi contestable, vient d’être publié. Jusqu’à quand serons-nous obligés de subir des sondages réalisés à la hâte et diffusés sans discernement par certains organes de presse ?
Selon la mise au point du 3 novembre 2015 publiée par la Commission des sondages, le sondage publié par les journaux du Grand Est sur les intentions de votes des électeurs de la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine (ACAL) apparaît « entaché d’un défaut de méthode qui ôte à leurs résultats leur caractère significatif ».
Cette commission n’a pas détaillé en quoi constituait ces « défauts de méthode ». On connait depuis longtemps la fragilité de ces sondages en début de campagne, alors que les électeurs interrogés n’ont pas vraiment encore réfléchi au scrutin. On peut plus encore douter de la pertinence de la présentation du second tour sous forme de triangulaire alors qu’il suffit de 10 % des suffrages au premier tour pour qu’une liste puisse se maintenir au second tour et de 5 % pour fusionner avec une autre liste.
D’un point de vue plus technique, nous pouvons pointer trois défauts de méthode majeurs pour ce sondage :
• Le recueil des intentions de vote s’est fait par internet, ce qui est la plus mauvaise des méthodes : elle produit en effet des biais dans la constitution de l’échantillon. Seules les personnes qui se déclarent intéressées par la politique font partie du panel, ce qui explique les 32 % de personnes « qui ne se prononcent pas » alors que le taux d’abstention est annoncé à 50 %. Par ailleurs, l’absence d’enquêteur durant la passation du questionnaire rend les résultats moins rigoureux.
• Les listes ont été mal présentées : « la liste soutenue par le parti Europe Ecologie Les Verts et conduite par Sandrine Bélier » est en fait aussi soutenue par d’autres partis écologistes et représente bien plus que le seul parti EELV ». De même, la liste conduite par Jean-Georges Trouillet rassemble le Parti Lorrain, le Parti des Mosellans, l’Alliance Ecologique Indépendante. Elle ne résume donc pas uniquement à Unser Land, ce qui lui donne une vraie dimension interrégionale, au-delà de la seule Alsace.
• La taille de l’échantillon est en fait réduite pour chaque région prise indépendamment, d’où l’accroissement de la « marge d’erreur ». Si l’on considère que chaque population électorale régionale a une sensibilité particulière pour répondre à cette question, ne serait-ce qu’au sujet de l’évaluation passée de l’action de leur Conseil Régional, le résultat de ce sondage est plutôt une addition de fortes « marges d’erreur », plus proche des 6 points que des 3 points habituellement acceptés.
Statistiquement, pour avoir une approximation fiable à 95 % des intentions de vote d’un groupe de plusieurs millions de personnes, il est possible de limiter l’enquête auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatives et tirées au sort de ce groupe. Selon cette technique, il subsiste néanmoins une marge d’erreur qui est au minimum de 1,4 % et au maximum de 3,1 %, en plus ou en moins selon les scores obtenus, soit un écart global de 3 à 6 points.
Le problème des sondages parus récemment est que l’échantillon n’est pas composé de plus de 1 000 individus d’un même ensemble, mais de l’addition de 3 échantillons beaucoup plus réduits. Par exemple, pour le sondage BVA : 444 individus pour l’Alsace, 611 pour la Lorraine et 304 pour la Champagne-Ardenne.
Si on prend un résultat autour de 10 %, les écarts probables sont de 5,8 points pour l’Alsace, 4,8 points pour la Lorraine et 6,8 points pour la Champagne-Ardenne. Cela commence à faire beaucoup !
En toute rigueur, sur ces questions régionales, pour obtenir une marge d’erreur standard pour ce type de sondage, il aurait fallu réaliser le sondage auprès de 1 000 Alsaciens, 1 000 Lorrains et 1 000 Champardennais. Grâce à la méga-région, BVA a fait des économies … et un surcroît d’approximation !
Le sondage Odoxa, qui vient d’être publié le 8 novembre par le Parisien, présente exactement les mêmes erreurs de méthodes : sondage par internet, échantillons régionaux mal composés, mauvaise présentation des listes. Il s’agit d’un clone du sondage BVA, tout aussi mal fait, avec des fluctuations des résultats qui restent à l’intérieur même de la marge d’erreur. Le FN comme la droite étant situés dans ces deux sondages entre 30 et 32 % chacun.
Elections régionales 2015 : accord historique entre le Parti Lorrain et Unser Land
Par Parti Lorrain | Le 11/10/2015 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Une nouvelle page de l’histoire de l’autonomisme en Lorraine et en Alsace s’est écrite vendredi 9 octobre 2015 lors d’une conférence de presse interrégionale organisée à Strasbourg. Dans le cadre des prochaines élections régionales des 6 et 13 décembre prochains, le Parti Lorrain (PL) et le mouvement alsacien Unser Land se sont en effet alliés, afin de contrer la fusion de la Lorraine, de l’Alsace et de la Champagne-Ardenne. L’Alliance Ecologiste Indépendante (AEI) et 57-Le Parti des Mosellans seront également de la partie.
Présentation de la liste « Non à l’ACAL, oui à nos régions ! » à Strasbourg (Crédits photo : Unser Land)
Intitulée « Non à l’ACAL, oui à nos régions ! », la liste, menée par l’Alsacien Jean-Georges Trouillet, rassemble des profils variés issus des partis coalisés, ainsi que des élus, des responsables associatifs et des membres de la société civile. Elle dénonce le déni de démocratie qui a dicté la fusion de nos régions sans la moindre consultation des habitants et des élus. Les coûts de fonctionnement de cette méga-région presque deux fois plus étendue que la Belgique et plus peuplée que la Norvège vont exploser. Logique puisque l’ensemble comptera plus d’élus qui devront se déplacer plus souvent et plus loin. Comme l’a rappelé justement le Président du Parti Lorrain, « il ne faut pas se leurrer, au final, ce sont bien les contribuables qui vont payer l’addition ».
La liste régionaliste « Non à l’ACAL, oui à nos régions » est la seule qui refuse la méga-région et propose d’organiser un référendum pour consulter la population sur la question. Eloignée de tout extrême, le contraire serait d’ailleurs étonnant puisqu’il n’y a pas plus centralisateur et jacobin que le FN ou le Front de Gauche, elle entend dépasser la barre des 10 % et s’en donne les moyens.
Lors de la conférence de presse interrégionale, les dix têtes de listes ont été dévoilées. On retrouve donc :
Tête de liste interrégionale : Jean-Georges Trouillet, porte-parole et ancien président de Unser Land. Travailleur frontalier, il exerce actuellement la fonction de chef de service dans un bureau d’ingénieurs à Bâle.
Alsace
Bas-Rhin : Andrée Munchenbach, Présidente de Unser Land, ancienne conseillère générale, conseillère municipale de Schiltigheim depuis 2001. Professeur de lettres et membre fondatrice de l'association de parents d’élèves Eltern.
Haut-Rhin : Nadia Hoog (Unser Land). Militante depuis l’adolescence auprès des jeunes dans les quartiers populaires de Colmar et des migrants à Strasbourg, Présidente-fondatrice d’associations étudiantes et de parents d’élèves.
Lorraine
Meurthe-et-Moselle : Thomas Riboulet, Président du Groupe BLE Lorraine et Président du Parti Lorrain. Chef de projet qui a travaillé pour de grands groupes industriels comme Holcim, Airbus et Thales, aussi bien en France qu'à l'étranger.
Meuse : Kévin Gives, Secrétaire Général du Parti Lorrain, mécanicien ferroviaire.
Moselle : Philippe Mouraux, Président de 57- Le Parti des Mosellans. Juriste-linguiste à la Cour de justice de l’Union Européenne à Luxembourg.
Vosges : Emmanuel Thiébaut (AEI), Conseiller municipal de Moyenmoutier. Technicien informatique pour l'Université de Lorraine à l'Institut Universitaire et Technologique de Saint-Dié-des-Vosges.
Champagne-Ardenne
Ardennes : Jean-Pierre Pierrard, membre d'une association de protection des animaux et militant antinucléaire.
Aube : Virginie Blanchard (AEI), conseillère en vente dans une boulangerie-pâtisserie.
Marne : Ghislain Wysocinski, membre du Bureau Politique de l’Alliance Ecologiste Indépendante depuis 2011.
Haute-Marne : Guillaume Reffay (AEI).