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Législatives 2022 : Bruno CAILLE s'engage sur la 1ère circonscription de la Meuse
Par Parti Lorrain | Le 24/05/2022 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Bruno CAILLE est candidat aux élections législatives 2022 dans la première circonscription de la Meuse pour le Parti Lorrain. Créé en 2010, le Parti Lorrain est membre de la Fédération des Pays Unis qui regroupe plusieurs mouvements régionalistes de centre gauche et de centre droit en Bretagne, au Pays Basque, en Alsace, en Provence ou encore en Occitanie et en Lorraine.
Agé de 51 ans et ancien Conseiller Municipal de Villotte-devant-Louppy, près de Bar-le-Duc, Bruno CAILLE se définit comme un citoyen et non comme un « professionnel de la politique ». Reconnu pour son engagement local et son travail, le Président de l’association Mémoire de nos villages, entend « proposer une autre forme de politique ». Le candidat milite en effet pour une représentativité de la diversité des opinions au sein de l’Assemblée Nationale et contre la confiscation du pouvoir par les partis traditionnels parisiens.
Homme de terrain, Bruno CAILLE était auparavant chez les Verts. Il en est ressorti écœuré par les intérêts personnels et les jeux de pouvoir. C’est la raison pour laquelle il a rejoint le Parti Lorrain, où il se sent bien. Passionné d’histoire, de culture et de patrimoine, Bruno CAILLE est attaché à la défense de notre région et de son identité. Il a donc placé sa campagne sous le signe du « renouveau meusien » en allant notamment davantage vers une société coopérative et solidaire et en encourageant la rénovation énergétique et qualitative de l’habitat rural et des bâtiments publics. « Je veux agir en responsabilité pour ne pas laisser comme seul avenir aux générations futures l’enfouissement des déchets nucléaires à Bure qui condamnerait toute la région », revendique-t-il. En effet, personne ne souhaite vivre au-dessus d’une poubelle radioactive. « Les citoyens ont le droit de s’exprimer et de choisir en toute transparence à travers un référendum ». Favorable à une autre politique énergétique, Bruno CAILLE soutient également les initiatives et la recherche en faveur des nouvelles énergies. Sensible à la protection animale, le candidat du Parti Lorrain souhaite de même agir d’un point de vue législatif par la création d’un passeport du propriétaire, afin de lutter contre les abandons en responsabilisant davantage certains propriétaires d’animaux de compagnie.
Par ailleurs, selon Bruno CAILLE, « la Meuse dispose d’un formidable potentiel naturel et culturel. L’éco-tourisme pourrait ainsi être développé en favorisant les déplacements doux et en sauvegardant les lignes ferroviaire abandonnées par l’Etat français et la SNCF ». Le candidat se dit également conscient des difficultés rencontrées par les agriculteurs depuis de nombreuses années. Il entend enfin être la voix du territoire et de ses habitants à l’Assemblée Nationale en faisant voter des lois pour revenir aux régions historiques et pour apporter davantage de démocratie, de proximité et de transparence dans la vie politique française.
Bruno CAILLE a pour suppléant Aymerick WEBER, 30 ans, passionné d’histoire et de sports. Adepte d’eSports et de pétanque, il fut également Champion départemental de tir-à-l’arc en juniors. Il souhaite de son côté développer la pratique sportive et l’accessibilité de la culture en milieu rural, ainsi que remettre l’enseignement des fondamentaux (savoir lire et écrire sans difficulté, mathématiques) au cœur du projet éducatif. L’éducation constituant un des piliers du développement humain.
Gare d’interconnexion TGV-TER de Vandières : lettre ouverte à la Députée Fiat
Par Parti Lorrain | Le 15/10/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Madame Caroline FIAT,
Madame la Députée de la 6ème circonscription de Meurthe-et-Moselle,
Vous avez dernièrement été élue Député de la 6ème circonscription de Meurthe-et-Moselle et je ne peux que vous félicitez pour cela. Je tiens également, par la présente, à vous solliciter sur l'un des sujets brûlants de notre circonscription : la Gare d'interconnexion TGV-TER de Vandières.
Ce dossier a été géré de manière calamiteuse par l'ancienne majorité de la Région Lorraine et son président Jean-Pierre MASSERET qui a organisé un pseudo référendum sans aucune valeur compte-tenu de la très faible participation et de la question posée de manière alambiquée. Tout cela pour se dédouaner et ne pas assumer ses responsabilités ! La nouvelle méga-région Grand Est n’a pas fait mieux, laissant le projet s’enliser. Parallèlement, certains élus Mosellans malavisés n'ont toujours pas compris l’intérêt de cette gare et continuent faire le jeu de la division en Lorraine à des fins politiciennes, instrumentalisés par le pouvoir jacobin parisien et certains élus alsaciens.
Trop de mensonges ont été avancés pour que n'aboutisse pas ce projet !
Vue en trois dimensions du projet de Gare d'interconnexion TGV-TER de Vandières (Crédits image : Groupe BLE Lorraine)
Via le vote de motions, de nombreuses communes lorraines ont pourtant exprimé leur souhait de voir naître cette Gare TGV-TER à Vandières. Qu'elles soient en Meurthe-et-Moselle, en Meuse, en Moselle et dans les Vosges. Les élus de ces communes en ont vite reconnu l'intérêt général des Lorrains. Cet intérêt dépasse même les frontières de la Lorraine puisque le Grand-Duché du Luxembourg, certaines communes de Haute-Marne, ainsi que la commune de Luxeuil-les-Bains en Franche Comté, y ont vu également une opportunité de développement et d'échanges.
Je sais que vous êtes favorable à la création de cette gare d'interconnexion. Je vous demande donc de prendre un positionnement fort, au niveau national, en faveur de ce dossier en tant que député. Je sollicite aussi votre intervention pour convaincre vos collègues lorrains députés et sénateurs pour construire une unité lorraine sur les grands chantiers d’avenir pour notre territoire.
Bien que nous ne partagions pas les mêmes idées politiques, j’ose espérer que nous pouvons dépasser ces clivages dans l’intérêt de la Lorraine.
Enfin, je ne manquerai pas prochainement de clarifier votre position sur d’autres sujets lorrains comme le désengorgement de l’A31, le mur anti-bruit de Champigneulles ou encore le projet d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure.
Dans l'attente de votre réponse et pour échanger ensemble si vous le souhaitez, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la Députée, l'expression de mes sincères salutations.
Frédéric THOMAS,
Trésorier du Parti Lorrain, Responsable du Comté de Nancy et ancien candidat aux élections législatives 2017 dans la 6ème circonscription de Meurthe-et-Moselle.
Affiches de campagne du Parti Lorrain
Par Parti Lorrain | Le 09/06/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Retrouvez ci-dessous les trois affiches de campagne du Parti Lorrain pour les élections législatives. Vous pouvez les voir sur les panneaux électoraux, ainsi que sur les emplacements d'affichage libre. A noter qu'outre deux affiches personnaliées pour Camille Zeghmouli (1ère circonscription des Vosges ) et pour Thomas Riboulet (2ème circonscription de la Moselle), l'affiche commune de nos cinq autres candidats arbore un symbole fort, la Croix de Lorraine.
Kévin Giges veut une Région Lorraine dans une France fédérale
Par Parti Lorrain | Le 08/06/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Le Parti Lorrain a dernièrement présenté lors d'une conférence de presse organisée à Diddenuewen (Thionville) son candidat dans la neuvième circonscription de la Moselle. Il s'agit de Kévin Giges. Agé de 31 ans, celui-ci défend l’idée d’une France fédérale dans laquelle la Lorraine aurait toute sa place en tant que région à part entière. Elle serait même dotée de beaucoup plus de compétences. Le Grand Est, qui a été imposé sans concertation ni consultation des élus et des habitants, doit disparaître. « On a touché à l’âme et à l’identité des gens », selon Kévin Giges. C'est la raison pour laquelle « il faut revenir aux régions historiques comme la Lorraine pour redonner du sens. Les décisions ne doivent plus se prendre de manière centralisée à Paris mais au cœur de nos territoires », poursuit-il.
Pour Kévin Giges, la Lorraine doit revenir une région à part entière mais avec plus de compéténces au sein d'une France fédérale (Crédits photo : Parti Lorrain)
Celui qui est mécanicien ferroviaire au Luxembourg connaît par ailleurs parfaitement les problèmes de mobilité des frontaliers puisqu'il les vit au quotidien. Il entend donc représenter et porter la voix à l’Assemblé Nationale des 80 000 Lorrains qui franchissent la frontière tous les jours pour faire bouger les choses et faire avancer les dossiers concernant la saturation des réseaux de transports. « Ces réalités sont depuis trop longtemps ignorées à Paris par les gouvernements successifs », selon le candidat fédéraliste.
Kévin Giges invite donc les électeurs à faire « entrer la Lorraine à l’Assemblée Nationale ». Bien implanté dans le milieu associatif et culturel local grâce à son groupe de musique rock, il compte également défendre et développer les langues régionales, à l'image du Lothringer Platt, reconnu comme une langue officielle au Luxembourg. Il l'utilise d’ailleurs quotidiennement au travail. Il faut en effet savoir que cette langue est de plus en plus demandée par les employeurs et les recruteurs du Grand-duché. On constate de ce fait une forte demande d’apprentissage de celle-ci dans la région avec l’essor économique du Luxembourg.
A noter enfin que parmi les autres éléments de son programme on retrouve le renforcement du non-cumul des mandats, la reconnaissance du vote blanc, l’aide aux agriculteurs, le développement des circuits cours ou encore l’abaissement des charges des entreprises pour stimuler l’emploi.
Le Président du Parti Lorrain candidat sur la deuxième circonscription de la Moselle
Par Parti Lorrain | Le 01/06/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Au cours d’une conférence de presse organisée à Metz, le Parti Lorrain a dernièrement présenté son candidat sur la deuxième circonscription de la Moselle (Metz, Montigny-lès-Metz, Verny, Côtes de Moselle) aux prochaines élections législatives. Il s’agit ni plus ni moins que de son Président Thomas Riboulet. Celui-ci entend redévelopper notre territoire et moraliser la vie politique française. Il propose pour cela quatre leviers d’actions : la défense de la Lorraine comme entité administrative à part entière ; la défense de la démocratie et de la citoyenneté ; le soutien à l’économie locale, ainsi que la préservation de l’environnement avec notamment l’arrêt du projet d’enfouissement des déchets radioactifs à Bure.
Thomas Riboulet est candidat sur la deuxième circonscription de la Moselle pour devenir député (Crédits photo : Parti Lorrain)
Proposer une loi pour enfin mener une vraie réforme territoriale
S’il est élu député pour représenter ses concitoyens à l’Assemblée Nationale, Thomas Riboulet s’engage à proposer une nouvelle loi pour remplacer la loi NOTRE et recréer une Région Lorraine. « Nous devons absolument retrouver nos administrations et des centres de décisions », souligne le Président candidat pour qui l’échelon communal a également tout son sens. L’idée est de conférer aux régions historiques les moyens d’agir et de se développer dans les domaines de l’aménagement du territoire, de l’économie, des transports, de l’emploi, de la culture, de l’éducation et de l’environnement. « Ce n’est pas la taille des régions qui compte mais les compétences qui leur sont attribuées », affirme-t-il, avant de poursuivre : « je veux défendre nos territoires et la démocratie car la Lorraine a été fusionnée de manière illégitime sans concertation ni consultation des élus et des habitants et en totale violation des traités européens. Les décisions doivent être prises au cœur des territoires et au plus proche des citoyens, pour garantir efficience, bon sens et transparence et ainsi redonner de la confiance ». Thomas Riboulet souhaite de même pérenniser le Droit Local mosellan qu’il considère autant comme un trésor de notre patrimoine qu’un gage d’avenir.
Moraliser la vie politique
A l’Assemblée Nationale, Thomas Riboulet agira pour moraliser la vie politique française. Il estime ainsi que la politique ne doit pas être un métier, afin de ne pas tomber dans le clientélisme. C’est la raison pour laquelle il proposera une loi pour instaurer comme condition d'éligibilité à toutes les élections « la démonstration d’un casier judiciaire vierge ». Il entend également renforcer le non-cumul des mandats (renouvelables une fois), faire reconnaître le vote blanc et généraliser les outils démocratiques participatifs comme par exemple les référendums.
Soutenir l’économie locale
Le candidat à la députation compte par ailleurs soutenir le tissu économique local, les entreprises, les artisans, les agriculteurs et les viticulteurs des Côtes de Moselle en réduisant leurs charges et en luttant contre les disparités territoriales et la désertification médicale. De la même manière, le Président du Parti Lorrain entend « maintenir les services publics de proximité et favoriser la mise en place des circuits courts entre producteurs et consommateurs ». L’idée est aussi d’améliorer le cadre de vie en soutenant le développement durable et en préservant l’environnement.
Arrêter tout projet d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure
Thomas Riboulet fait enfin du projet d’enfouissement des déchets radioactifs à Bure un enjeu national. « Si je suis élu député, je proposerai immédiatement une loi pour stopper ce projet insensé et imposé qui condamne l’avenir de nos territoires et des futures générations sur des centaines de milliers d’années », affirme-t-il. « Personne ne souhaite en effet vivre et habiter au-dessus d’une poubelle radioactive. Là aussi, la démocratie a été bafouée puisqu’une pétition signée par plus de 60 000 personnes demandant un referendum sur la question a été jugé illégale par les autorités ».