législatives
Un casier judiciaire vierge pour tous nos candidats et suppléants
Par Parti Lorrain | Le 31/05/2017 | Commentaires (0)
Pour éviter tout clientélisme, la politique ne doit pas être un métier mais un devoir de servir l'intérêt général et de représenter les citoyens. S'ils sont élus députés, les candidats du Parti Lorrain s'engagent à aller jusqu'au bout de la moralisation de la vie politique française. Ils proposeront ainsi des lois pour instaurer comme condition d'éligibilité à toutes les élections la démonstration d’un casier judiciaire vierge, pour renforcer le non-cumul des mandats (renouvelable une fois), pour faire reconnaître le vote blanc et pour généraliser les outils démocratiques participatifs (référendums, etc.). L'idée est également d'introduire une dose significative de proportionnelle pour permettre une meilleure représentation de la diversité des opinions.
Fidèles à leurs valeurs et à leurs engagements, les sept candidats, suppléants et mandataires judiciaires du Parti Lorrain présentent tous des casiers judiciaires vierges.
Le Parti Lorrain demande donc à tous les autres candidats et à leurs suppléants d'attester et de prouver la sincérité de leur démarche en apportant également la preuve de leur casier judiciaire vierge. Seront-ils relever ce défi démocratique et ce devoir de transparence ?
Législatives 2017 : Frédéric Thomas en lice pour le Parti Lorrain dans la 6ème circonscription de Meurthe-et-Moselle
Par Parti Lorrain | Le 26/02/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Le Parti Lorrain a dernièrement présenté à Pont-à-Mousson son futur candidat dans la 6ème circonscription de Meurthe-et-Moselle (Frouard/Pompey, Pont-à-Mousson, Conflans-en-Jarnisy). Il s’agit de M. Frédéric Thomas, 42 ans, employé de commerce à Frouard. M. Thomas Riboulet, Président du Parti Lorrain et futur candidat dans la 2nde circonscription de la Moselle (Sud messin) étant également présent.
Frédéric Thomas, à gauche, accompagné de son Président Thomas Riboulet, Place Duroc à Pont-à-Mousson (Crédits photo : Groupe BLE Lorraine)
M. Thomas a détaillé ses motivations, ainsi que les mesures phares que le Parti Lorrain entend mettre en œuvre pour redévelopper le territoire et moraliser la vie politique française. Ayant travaillé trois ans à l’étranger dans le domaine du tourisme, il a un autre regard sur le monde et sur la France en particulier.
Renouveler la classe politique
« Aujourd'hui, les partis traditionnels ne se préoccupent plus que de leurs privilèges de manière indécente », selon Frédéric Thomas, qui souhaite qu’ « aucun candidat ne puisse se présenter si son casier judiciaire n’est pas vierge ». L’idée est également d’introduire une dose de proportionnelle, afin de garantir une meilleure représentation du choix des électeurs. Le futur candidat régionaliste veut en finir avec le clientélisme électoral. « C’est de cette manière que nous pourrons enfin renouveler la classe politique », affirme-t-il.
Revenir à une région Lorraine
M. Thomas entend par ailleurs défendre le « régionalisme autonome et engager une réforme digne de ce nom » en incluant les premiers concernés, à savoir les citoyens. « Une région qui prend ses propres décisions au plus proche de la population est bien plus efficace et transparente qu'un décisionnaire centralisé qui ne connaît souvent pas grand-chose à la réalité de nos territoires », ajoute Frédéric Thomas. L’idée du Parti Lorrain est en effet de revenir aux régions historiques en leur conférant une autonomie maximale.
Soutenir les PME et les TPE
« Les zones rurales, comme par exemple autour de Chambley et de Nomeny, ont toutes mon attention », poursuit Frédéric Thomas. « Je sais que nos agriculteurs souffrent et font face aux pires difficultés pour joindre les deux bouts. Ayant une expérience professionnelle diversifiée et entrepreneuriale, je comprends bien les problématiques des employeurs et des salariés, qu’elles soient humaines ou fiscales. Les petites et moyennes entreprises, qui regorgent de savoir-faire et qui constituent un formidable vivier d’emplois, sont pourtant délaissées par le pouvoir central qui ne jure que par les grandes entreprises du CAC 40. C’est la raison pour laquelle le Parti Lorrain compte aussi revaloriser l'apprentissage professionnel ».
A noter enfin que parmi les autres éléments du programme du Parti Lorrain présenté par Frédéric Thomas, on retrouve l’instauration du non-cumul des mandats, le développement des monnaies locales complémentaires pour stimuler l'économie et l'emploi dans les territoires, le soutien aux projets paysans en recensant notamment les terres abandonnées pour les proposer à des agriculteurs désireux de s’installer, la redynamisation des bassins industriels de Blénod-lès-Pont-à-Mousson (Saint-Gobain), Pompey et Pagny-sur-Moselle (Mersen) ou encore la remise des fondamentaux de la lecture, de l'écriture et du calcul au cœur de l'apprentissage scolaire. Ayant des enfants scolarisés, M. Thomas s’inquiète en effet de la dégradation des conditions d’enseignements (fermeture d’établissements, suppression de classes, classes surchargées, etc.).
Après sa participation aux élections régionales de décembre 2015 (liste créditée de 4,74 % des suffrages), le parti régionaliste entend ainsi s’inscrire durablement dans le paysage politique lorrain. C’est la raison pour laquelle il s’est associé avec le Mouvement 100 %, fédération qui rassemble une trentaine de partis citoyens, écologistes et régionalistes. En Lorraine, les différents candidats du Parti Lorrain seront donc soutenus par les forces écologiques et citoyennes pour proposer une réelle alternative démocratique.
Bruno Caillé : pour le renouveau de la Meuse et la défense de l’environnement
Par Parti Lorrain | Le 02/02/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Bruno Caillé sera le candidat du Parti Lorrain (PL) à travers le Mouvement 100 % dans la première circonscription de la Meuse pour les élections législatives de juin 2017. Le parti régionaliste l’a dernièrement présenté lors d’une conférence de presse organisée à Bar-le-Duc. Thomas Riboulet, son Président et lui-même futur candidat dans la seconde circonscription de la Moselle, est venu le soutenir pour l’occasion.
Bruno Caillé et Thomas Riboulet à Bar-le-Duc (Crédits photo : Groupe BLE Lorraine)
Agé de 45 ans, Bruno Caillé se définit comme « un simple citoyen de Villotte-devant-Louppy, conseiller municipal de son village et non comme un « professionnel de la politique ». Reconnu pour son engagement local et son travail, le Président de l’association Mémoire de nos villages, qui a déjà participé aux élections régionales de décembre 2015 avec le PL, entend « proposer une autre forme de politique ». Le futur candidat milite en effet pour une représentativité de la diversité des opinions au sein de l’Assemblée Nationale et contre la confiscation du pouvoir par les partis traditionnels.
Homme de terrain, Bruno Caillé était auparavant chez les Verts. Il en est ressorti écœuré par les intérêts personnels et les jeux de pouvoir. C’est la raison pour laquelle il a rejoint le Parti Lorrain. Passionné d’histoire, de culture et de patrimoine, Bruno Caillé est attaché à la défense de notre région et de son identité. Il comptera donc placer sa campagne sous le signe du « renouveau meusien » en allant notamment davantage vers une société coopérative et solidaire et en encourageant la rénovation énergétique et qualitative de l’habitat rural et des bâtiments publics. « Je veux agir en responsabilité pour ne pas laisser comme seul avenir aux générations futures l’enfouissement des déchets nucléaires à Bure qui condamnerait toute la région », clame-t-il. En effet, personne ne souhaite vivre au-dessus d’une poubelle radioactive. « Les citoyens ont le droit de s’exprimer et de choisir en toute transparence à travers un référendum ». Favorable à une autre politique énergétique, Bruno Caillé soutient également les initiatives et la recherche en faveur des nouvelles énergies. Sensible à la protection animale, le futur candidat PL souhaite de même agir d’un point de vue législatif par la création d’un passeport du propriétaire, afin de lutter contre les abandons en responsabilisant davantage certains propriétaires.
Par ailleurs, selon Bruno Caillé, « la Meuse dispose d’un formidable potentiel naturel et culturel. L’éco-tourisme pourrait ainsi être développé en favorisant les déplacements doux et en sauvegardant les lignes ferroviaire abandonnées par l’Etat français et la SNCF ». Le futur candidat régionaliste se dit également conscient des difficultés rencontrées par les agriculteurs depuis de trop nombreuses années.
Dans la continuité de sa participation aux dernières élections régionales où sa liste avait été créditée de 4,74 % des suffrages, le Parti Lorrain continue ainsi de s’installer, grâce à cette nouvelle candidature, dans le paysage politique lorrain. Soutenu par l’ensemble des forces écologiques et citoyennes à travers le Mouvement 100 %, le PL entend défendre les territoires lorrains à l’Assemblée Nationale en faisant voter des lois pour revenir aux régions historiques et pour apporter davantage de démocratie, de proximité et de transparence dans la vie politique française.
Fête de la Lorraine et élections législatives 2017
Par Parti Lorrain | Le 08/01/2017 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Comme chaque année, le Parti Lorrain n’a pas dérogé à la règle de célébrer le 5 janvier, jour de la Fête Nationale de la Lorraine. Une gerbe de fleurs aux couleurs de la Lorraine a été déposée aux pieds de la statue équestre du Duc René II, vainqueur de la Bataille de Nancy le 5 janvier 1477 contre Charles le Téméraire.
Place Saint-Epvre à Nancy - 5 janvier 2017 (Crédits photo : Parti Lorrain)
Auparavant, le Président du Parti Lorrain, M. Thomas RIBOULET, accompagné de plusieurs représentants et futurs candidats, a présenté lors d’une conférence de presse ses vœux pour 2017. Après une année 2016 difficile, marquée par un contexte national et international éprouvant et une dégradation de la situation en Lorraine (poursuite du démantèlement de la Lorraine dans le cadre du Grand Est, maintien d’un haut taux de chômage, progression de la pauvreté et perte démographique et d’attractivité), 2017 doit être l’année de la reconquête.
C’est la raison de la participation du Parti Lorrain aux prochaines élections législatives en juin 2017 qui s’inscrit dans la continuité du travail réalisé lors des régionales en décembre 2015 (liste créditée de 4,74 % des voix). C’est en effet à l’assemblée nationale que les députés font et défont les lois. Aux régionales, le Parti Lorrain était le seul avec ses alliés à s’opposer à la méga-région Grand Est. A travers le Mouvement 100 %, qui fédère 25 partis citoyens, écologistes et régionalistes, les candidats Parti Lorrain visent à défendre et à représenter les Lorrains, abandonnés et trahis par les élus de tous bords. Les députés Parti Lorrain proposeront notamment l’abrogation du Grand Est et le retour d’une entité administrative propre à la Lorraine.
Le Parti Lorrain présentera des candidats dans au moins huit circonscriptions sur l’ensemble des départements lorrains. A l’heure actuelle, il couvre déjà 50 % des circonscriptions de Meuse, de Moselle et des Vosges.
Législatives 2017 : Kévin Flaus, nouvel espoir pour l’emploi dans la Vallée de la Fensch
Par Parti Lorrain | Le 19/12/2016 | Dans Parti Lorrain | Commentaires (0)
Il est jeune et sera candidat aux prochaines élections législatives en 2017 pour le Parti Lorrain (PL) dans la huitième circonscription de la Moselle. A vingt ans, Kévin Flaus incarne le renouveau et l’espoir pour la Vallée de la Fensch et ses environs, martyrisés et trahis par les gouvernements successifs à Gandrange et à Hayange-Florange. Il représente aussi et surtout une alternative rafraîchissante à l’éclatement des partis traditionnels et aux extrêmes de tous bords.
Kévin Flaus, à gauche, et Thomas Riboulet lors de la conférence de presse du Parti Lorrain à Hayange (Crédits photo : Groupe BLE Lorraine)
Etudiant en Droit à l’Université de Lorraine, Kévin Flaus a été officiellement présenté par le Parti Lorrain au cours d’une conférence de presse organisée mi-décembre à Hayange. A l’image des futurs candidats PL dans les Vosges, il était également accompagné pour l’occasion de son Président, Thomas Riboulet, lui-même futur candidat dans la seconde circonscription de la Moselle à Metz. Mosellan mais avant tout Lorrain et très attaché à sa région, Kévin Flaus entend défendre notre territoire à l’Assemblée Nationale, afin de proposer des lois pour apporter davantage de démocratie, de proximité et de transparence dans la vie politique française.
Priorité à l’emploi
Le Parti Lorrain fait de l’emploi sa priorité pour sortir la vallée du déclin de la sidérurgie et de la misère sociale. Travaillant en parallèle de ses études, il connaît parfaitement les problématiques locales en la matière pour parler aux jeunes, parfois désœuvrés auxquels il faut redonner confiance. « Une prise de décision au cœur de nos territoires par des acteurs qui connaissent le terrain doit permettre d’insuffler une nouvelle dynamique », affirme-t-il. Le jeune futur candidat lorrain compte d’ailleurs éradiquer le chômage de longue durée en généralisant notamment les expérimentations « territoires zéro chômage » et en favorisant l’installation de jeunes agricultures sur les terres abandonnées pour soutenir des productions locales de qualité en circuit court. Le développement des monnaies locales complémentaires constitue également une piste pour stimuler l’économie et l’emploi.
Comme partout en Lorraine, Kévin Flaus et le Parti Lorrain seront soutenus dans cette démarche par les forces écologiques et citoyennes. Après sa participation aux dernières élections régionales en décembre 2015, où sa liste avait récoltée 4,74 % des suffrages, le mouvement régionaliste compte ainsi s’installer durablement dans le paysage politique lorrain. Il participera à la bataille des législatives à travers le Mouvement 100 %, fédération de 25 partis écologistes, citoyens et régionalistes. L’idée est de mieux revenir aux régions historiques en leur conférant une autonomie maximale, d’introduire une dose significative de proportionnelle pour avoir une plus juste représentativité de la diversité des opinions dans le pays, d’instaurer le non cumul des mandats et de généraliser le recours aux outils démocratiques participatifs comme les référendums.